Visiteurs, cet espace vous est réservé; si le blog vous plaît, nous serons ravis de le savoir (s'il ne vous plaît pas....moins!); si vous avez des suggestions à émettre, des pensées (plus ou moins) profondes à exprimer, des propositions d'activités pour nos élèves, des offres de participation active (comme María José qui va nous traduire un poème), d'autres sites en français sur Lorca à nous faire découvrir, ou si tout simplement vous voulez laisser une petite trace de votre passage, nous serons ravis de vous lire, et le cas échéant, de vous répondre. Merci de votre visite!
PS: si vous ne l'avez pas encore fait, vous pouvez aussi mettre une note à ce blog, dans le sondage qui apparaît dans la colonne de droite, près de ma photo... Re-merci!
Ce blog est le fruit du travail des élèves de terminale de français deuxième langue du lycée La Jara de Villanueva de Córdoba, sous la houlette de leur prof, en hommage au grand poète et dramaturge espagnol que fut Federico García Lorca (1898-1936), dans l'idée que tous les élèves du lycée, petits et grands, puissent se familiariser, au travers de la langue française, avec un personnage de renommée internationale, né, comme la plupart d'entre eux, en terre andalouse....
..muy bonita presentación sobre Lorca...Un muy buen trabajo sobre su vida y obra..Se merece eso y más este gran poeta andaluz..Enhorabuena!!Well done!
RépondreSupprimerMerci Natalia, et bravo pour être la première des visiteurs à avoir laissé trace de ton passage par ici!
RépondreSupprimerBonjour à tous: Je vais écrire un petit commentaire pour dire que ce blog est une excellente occasion de rendre hommage à ce genial poète andalou, Lorca. Et aussi pour pratiquer la langue française.
RépondreSupprimerMerci, Corinne, de ton travail et félicitations!!
Merci María José (ex élève de la EOI de Pozoblanco et actuelle lectrice assidue) pour ton message, je sais que tu sauras profiter de tout ce qu'il te sera présenté ici pour améliorer ton français, chose qui devient de plus en plus difficile, car ton niveau est déjà très bon! Il serait peut-être donc temps pour toi de t'attaquer à la traduction de poèmes de Lorca en français, et de nous faire partager le résultat de ton travail!!! A bientôt au sein de notre groupe de lecture!
RépondreSupprimerBonjour Corinne
RépondreSupprimerFélicitations pour ce magnifique travail.
Je voudrais faire un voeu pour cet anniversaire: que ses restes mortels soient enfin retrouvés, que justice soit faite et qu'une digne sépulture soit enfin donnée à ce génie universel.
Andrés
Un autre professeur de français
Merci Andrés pour ta visite et pour tes ficelles de caleçon (comprenne qui pourra!); espérons que ton souhait se réalise... Salue la belle Séville de ma part!
RépondreSupprimerCe que tu me proposes, Corinne, suppose un grand défi pour moi, parce que j'admire l'oeuvre de Lorca et je ne voudrais pas l'enlever aucun de son éclat avec une traduction incorrecte... Cela dit, je vais essayer de le faire et je commencerai avec un poème court intitulé: "Gacela de la huida".
RépondreSupprimerÀ bientôt!
Je n'en attendais pas moins de toi! Traduire de la poésie est effectivement une chose très compliquée, relevant en fait plus de la création que de la traduction proprement dite. Compte sur moi pour t'aider à trouver les mots justes! Entre tes racines andalouses et les miennes de l'autre côté des Pyrénées on devrait arriver à trouver le juste équilibre entre la sur et la sous-traduction... En tout cas il est clair que qui ne tente rien n'a rien, et le seul qui aurait vraiment le droit de nous dire que l'on n'a pas su capter ce qu'il voulait dire, n'est malheureusement plus là pour le faire... Alors, j'attends ton premier jet, qui j'espère servira d'exemple et d'inspiration à d'autres possibles futurs collaborateurs....
RépondreSupprimerJe suis tout à fait d'accord avec ton commentaire: qui ne tente rien n'a rien, une phrase qui m'a beaucoup plu et effectivement l'auteur ne va rien nous dire, ni de positif ni de négatif.
RépondreSupprimerVoici donc ma traduction du poème "Gazelle de la fuite", prête à être corrigée.
Pour éviter les problèmes dus à la longueur du texte, je vais d'abord mettre le poème en espagnol et ensuite, séparément, dans un autre message, la traduction française.
J'espère que quelqu'un va les lire et écrira un petit (ou pas si petit) commentaire.
Le poème en espagnol:
RépondreSupprimerGACELA DE LA HUIDA
Me he perdido muchas veces por el mar
con el oído lleno de flores recién cortadas.
Con la lengua llena de amor y de agonía
muchas veces me he perdido por el mar,
como me pierdo en el corazón de algunos niños.
No hay nadie que al dar un beso
no sienta la sonrisa de la gente sin rostro,
ni nadie que al tocar un recién nacido
olvide las inmóviles calaveras de caballo.
Porque las rosas buscan en la frente
un duro paisaje de hueso
y las manos del hombre no tienen más sentido
que imitar a las raíces bajo tierra.
Como me pierdo en el corazón de algunos niños,
me he perdido muchas veces por el mar.
Ignorante del agua, voy buscando
una muerte de luz que me consuma.
Et ma tentative de traduction en français, que Corinne voudra bien corriger:
RépondreSupprimerGAZELLE DE LA FUITE
Je me suis perdu bien de fois dans la mer
avec l’ouï plein de fleurs fraîches.
Avec la langue pleine d’amour et d’agonie
Bien de fois je me suis perdu dans la mer
comme je me perds dans le coeur de quelques enfants.
Pas de nuit où, donnant un baiser,
je ne ressens pas le sourire des gens sans visage,
ni de personne qu’ en touchant un nouveau-né,
elle n’ oublie les crânes inmobiles de cheval.
Car les roses cherchent sur le front
un dur paysage d’os
et les mains de l’homme n’ont plus de sens
que d’imiter les racines sous la terre.
Comme je me perds dans le coeur de quelques enfants,
Je me suis perdu bien de fois dans la mer.
Ignorant de l’eau, je cherche
une mort de lumière qui me consomme.
Merci mille fois Mª José pour ce magnifique travail! Ce soir même je prendrai le temps de le "corriger". J'espère bien que les autres visiteurs en prendront de la graine et s'animeront à suivre ton exemple....
RépondreSupprimerA plus tard!
Mª José,voici ma proposition de correction de ta traduction; je dis proposition, car ce n'est pas une science exacte... de ce fait, j'ai fait une correction "grammaticale", maintenant j'invite nos lecteurs à nous proposer des changements "poétiques". L'union fait la force, c'est bien connu, entre tous on arrivera peut-être à LA traduction!
RépondreSupprimerGAZELLE DE LA FUITE
Je me suis perdu bien des fois dans la mer
avec l’ouïe pleine de fleurs fraîchement coupées.
Avec la langue pleine d’amour et d’agonie
Bien des fois je me suis perdu dans la mer
comme je me perds dans le coeur de certains enfants.
Personne ne peut donner un baiser,
Sans percevoir le sourire des gens sans visage,
Ni personne qui puisse toucher un nouveau-né,
Et oublier les crânes immobiles des chevaux.
Car les roses cherchent sur le front
un dur paysage d’os
et les mains de l’homme n’ont plus d’autre sens
que d’imiter les racines sous la terre.
Comme je me perds dans le coeur de certains enfants,
Je me suis perdu bien des fois dans la mer.
Je vais mettre cette traduction dans la colonne de gauche avec les autres poèmes de Lorca...
Merci encore pour ta collaboration!
Merci Corinne de ta correction, que j'ai appréciée. Quand je l'ai lue, je me suis rendue compte de mes erreurs, dont je m'excuse.
RépondreSupprimerUne chose: les deux derniers vers du poème ne figurent pas dans la correction.
À bientôt.
Effectivement, je ne sais pas où se sont cachés ces deux derniers vers, que j'ai pourtant corrigés aussi! De toute façon, tu les retrouveras en allant sur la colonne de gauche du blog, où ta traduction figure en bonne place parmi les autres poèmes... Vas-y vite la voir!!
RépondreSupprimerJe viens de voir que le poème "Gazelle de la fuite" a été inséré avec ceux déjà contenus dans la colonne de gauche, ce qui a fait mon bonheur et me motivera pour continuer avec d'autres traductions occasionnelles.
RépondreSupprimerJ'encourage les visiteurs et surtout les élèves de terminale de français deuxième langue du lycée La Jara de Villanueva de Córdoba à participer à ce blog, que Corinne a préparé spécialement pour vous, avec votre collaboration. Un blog, à mon avis, doit être quelque chose de vivant, qui s'appuie, en partie, sur la participation de son public. Donc, allez-y les étudiants!! Azahara, Juan Pedro, Ana Crsitina, Juan Miguel, Elena, Josefina .... vous avez aussi créé vos blogs, voulez-vous que votre travail soit inutile? Si personne ne vous dit rien, le blog semble mort, malgré votre intêret. Alors, impliquez-vous et participez!! Lorca le mérite et Corinne aussi!!
Merci beaucoup Mª José pour ce commentaire encourageant! Je suis sûre que quand les élèves de terminale auront préparé leurs activités et que les autres élèves les auront réalisées leurs blogs se rempliront aussi de commentaires positifs! D'ailleurs, je vais de ce pas leur suggérer de mettre une page de "commentaires des visiteurs" sur leur blog....
RépondreSupprimerMerci encore pour ta collaboration enthousiaste.
PS: je tiens à préciser que Mª José n'est pas (encore!) sponsorisée par ce blog, qu'elle fait cela de bon gré et de manière désintéressée!!!
PS au message précédent: Si tôt dit, si tôt fait, je viens de rajouter cette suggestion à mes co-auteurs, via le lien "instructions pour le blog" et je les ai invités à venir lire ton message...
RépondreSupprimer(un vrai jeu de piste!!!)
Bonne précision!!
RépondreSupprimerSalut María José!
RépondreSupprimercela fait bien longtemps que je ne sais rien de toi! Je voulais juste te dire que ta nièce aura bientôt terminé ses activités, toutes très chouettes, je n'en attendais pas moins d'elle, et qu'elle apprécierait sûrement un petit commentaire de ta part sur son blog!
A bientôt j'espère, ici ou dans la vie réelle!